voyait de la fen ? tre se projetaient contre ces nuages ??dans l immobile minutie d une photographie . (Joseph Mal? gue, Augustin, t.2, 1933)
«On» appartient? certaines locutions plus ou moins fig? es comme on ne peut mieux; on ne sait o? , On ne sait d o? ; on ne sait pourquoi; sait-on jamais? ; comme on dit; on ne peut plus.
Un jour, par hasard, il Gobseck portait de l or; un double napo-l ? on se fit jour, on ne sait comment, ? travers son gousset. (Honor? de Balzac, Gobseck, 1830)
Les fromages les plus frais ne sont pas n ? cessairement les plus na ? fs. Il y en a qui sont, d ? sl ? gouttoir, d ? s le lait, si l on peut dire, touch ? s, hant ? s par une effervescence d ? moniaque. (Georges Duhamel, C? cile parmi nous, 1938).
Le pronom «on <#« justify" > 1. Le pronom « on » peut remplacer la premi? re personne du singulier, ou la premi? re personne du pluriel (tr? s fr? quent, surtout dans le registre familier):
- Ici, on s'occupe de ses affaires.
- Pour: « Moi , je m'occupe de mes affaires. »
- On est venus avec notre voiture.
Pour: « Nous sommes venus avec notre voiture. »
2. Le pronom « on » peut remplacer la deuxi? me personne (du singulier aussi bien que du pluriel), ce qui est? galement assez fr? quent dans le registre familier:
· Alors, on est content de ses vacances?
Pour: «Alors, tu es content de tes vacances? »Ou« Alors, vous ? tes content de vos vacances? ».
Lorsque le pronom sujet « on » est employ? pour la premi? re personne du pluriel, il peut? tre analys? comme un v? ritable pronom personnel (l «? nallage dans ce cas, est totalement int? gr? par la langue). Dans ce cas, tous les accords se font avec l »id? E de la personne exprim? E (« nous »), sauf le verbe <#« justify" > · Nous, cet ? t ? , on est ...