me suis appliqu? pour r? diger ce devoir. (Mis pour je ferai remarquer que je me suis appliqu? Pour r? Diger ce devoir).
«nous» : On a gagn? ! (Mis pour nous avons gagn?). Fait l'accord en genre et en nombre mais le verbe reste au singulier:
Eh bien les gar? ons, on est contents de la randonn? e?
Alors ma petite, on est remise de ses? motions?
? galement consid? r? comme populaire, la phrase avec «nous, on ...» :
Nous, on a l'habitude de crier pendant le match.
Nous, on pense que vous avez tort.
.2 Classifications grammaticales
Si ON est classifi? comme pronom ind? fini dans les grammaires tradition-nelles, il est g? n? ralement consid? r? comme un pronom personnel aujourd hui. Plus sp? cifiquement, il est habituellement classifi? comme un pronom personnel ind? fini, ce qui indique nettement son statut grammatical complexe. Le pronom ON n est pas tout? fait reconnu comme pronom ind? fini, ni tout? fait comme pronom personnel.valeurs de ON d? crites dans les grammaires et les dictionnaires sont, grosso modo, divisibles en deux cat? gories: emplois ind? finis et emplois d? finis pour des personnes d? termin? es. Cependant, la valeur de l ind? fini est la valeur de base et les emplois correspondant? d autres pronoms personnels sont consid? r? s comme des sous-groupes de la cat? gorie principale. Ces emplois sont souvent d? crits comme des emplois stylistiques, le Bon Usage.nous semble que la classification grammaticale de ON a souvent? t? caract? ris? e par le recours? des crit? res ad hoc. Les grammaires diff? rentes invoquent des crit? res? tymologiques, morphosyntaxiques, pragmatiques et s? mantiques, mais n arrivent pas toujours? ? valuer l importance relative de ces crit? res.
1. Le Bon Usage
Le Bon Usage repr? sente les grammaires traditionnelles et normatives. Cet ouvrage constitue donc un excellent exemple de la classification de ON du point de vue de cette tradition. Les treize? ditions de cet ouvrage permettent? galement de tracer d? ventuels d? veloppements au cours de la p? riode de 1936? 1993.un m? moire sur le pronom ON, Larsen examine le d? veloppement dans le traitement de ON dans le Bon Usage. Dans la 9? me? dition, Gr? visse condamne certains emplois de ON pour NOUS comme des vulgarismes; cette condamnation a d ailleurs? t? retir? e de la 10eme? dition. Dans celle-ci, on souligne la complexit? s? mantique de notre pronom, ainsi que ses relations de correspondance avec les pronoms personnels. Mais il s agit l? d une r? vision d ordre s? mantique, n affectant en aucun cas la cat? gorisation grammaticale elle-m? me, car ON est toujours classifi? parmi les pronoms ind? finis.la 13? me? dition du Bon Usage, datant de 1993, ON est classifi? parmi les pronoms ind? finis. Cependant, au sujet de l emploi fr? quent de ON pour NOUS, Goosse remarque que Beaucoup de grammairiens ont beau le d? plorer, on est devenu un v? ritable pronom personnel. Par cons? quent, Goosse propose «[ON] peut? tre consid? r? comme un pronom personnel ind? fini »
2. Togeby
